Nous habitons plusieurs espaces : le Yoga considère le corps comme un temple, l’architecture sacrée voit l’habitat comme un corps, l’environnement nous révèle l’architecture de notre propre nature. Ensemble, ils constituent le terrain qui nous est donné pour apprendre à mieux nous connaître, nous orienter et donner du sens à notre identité. Trois lignes directrices guident donc ma démarche en vue d’un bien-être global :
« Bien-être en soi, bien-être chez soi … bien-être dans le monde”.
A une époque favorisant une consommation excessive, une certaine dispersion, dépendance et in-sensibilité dans les relations humaines, générant un Karma individuel et collectif de plus en plus conséquent, mais révélant aussi un certain vide de sens … nous pouvons être amenés à nous demander quelle est la réelle source du bonheur et où le trouver ?
Si notre contexte et environnement de vie ont leur part dans la balance, le véritable bonheur se construit pourtant de l’intérieur.
Oui, mais entre héritage transgénérationnel, éducation inadaptée et stress grandissant lié à nos modes de vie quelque peu « anti-nature », encore faut-il être en mesure de se libérer de la pression sociale, des mémoires, des conditionnements et des habitudes qui empêchent d’y accéder. Il demande donc un effort à être construit, étape par étape, cultivé et maintenu vivant.
Selon la philosophie des anciens Sages, tout comme dans les enseignements et la définition originelle du Yoga – qui n’est ni un sport, ni une pratique physique seule – c’est un processus d’éveil et une re-naissance symbolique intimement liée au bonheur … d’être soi !
Lorsque la conscience est libérée des milliers de vibrations mentales, vitales, physiques, sous lesquelles elle est enfouie, on trouve le bonheur. Sri AurobindoPhilosophe, poète et écrivain spiritualiste indien qui a développé une approche nouvelle du yoga intégral, de la conscience et du supramental
Ainsi, le bonheur est un état d’être qui se crée davantage en se libérant de ce qui l’entrave plus que par accumulation d’éléments extérieurs. A l’image d’un jardin, il est nécessaire d’enlever les mauvaises herbes et de savoir reconnaitre celles qui vont assurer sa pérennité ; tout comme choisir des essences qui s’adaptent à la nature du terrain, arroser selon les besoin et lui apporter le juste entretien. Alors qu’est-ce qui peut nous aider sur ce chemin et quelle contribution pouvons-nous nous-mêmes apporter ?
Un processus de transformation – telle une chenille en papillon
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